Âge: 19 ans Origines: Ecossaises. En fait t'as toujours vécu dans ce trou. Occupation: Dealeuse d'Opium, faute de trouver mieux. Puis comme ça elle peut en profiter pour toucher un peu aussi. Orientation sexuelle: Hétéro Statut civil: Célibataire Puce: T'en avais une. On te l'a arrachée pour pouvoir être acceptée chez eux, et tu ne t'en portes que mieux. Mais tu en gardes quand même un mauvais souvenir, il te semble que tu avais étranglé le pauvre type qui te l'avais arraché, tellement tu avais souffert. Clan: Halloweeners. Tu leurs es fidèle, ils sont ton point d'ancrage, sans eux tu ne sais pas réellement où tu aurais été aujourd'hui. Ils sont ta nouvelle famille. Déchirure: De niveau 6 – Poison Touch Traits de caractère: Violente – Rebelle – Indépendante – Maligne – Radicale - Fière – Impulsive – Intelligente – Sur la Défensive – Souriante – Joueuse – Joyeuse – Vicieuse – Peu Bavarde – Observatrice - Sensible Groupe: Doppelganger.

Quels sont les points forts de votre personnage: Tu es forte. Une tête dure, et tu ne te laisse pas faire. La liberté est quelque chose d'important pour toi, et le sénario de la vie en ce moment ne te plais que trop peu. Tu te vois révolutionnaire, mais tu ne peux pas le faire toute seule. Alors tu te prépare. Tu es maligne, tu as des projets que tu garde pour toi. Tu as cette part de mystère qui semblerait attirer les gens à toi (à moins que ce soit justement le stade de ta déchirure). Quoi qu'il en soit, tu penses également que ta déchirure fait de toi une personne unique. Tu es fière de ce que tu es et ne supporte pas d'être cachée.
Et ses faiblesses ? Tu es impulsive. Tu fais partie de la grande majorité de personnes qui, souvent, foncent tête baissée et réfléchissent après. Tout dépend de la situation, tu as le sang chaud, il bouillonne en toi, et c'est sans doute tes excès de violence incontrôlés qui feront ta perte.
Comment vit-il avec sa déchirure ? Tu es fière d'être une mutante. Tu adore ta déchirure. Elle est comme toi, dangereuse et surprenante. Tu ne la maîtrise que très peu, la seule chose que tu sais, c'est qu'elle agit sous le joug de tes émotions. C'est surtout la colère l'élément déclencheur. Mais tu as aussi découvert que c'était sous le coup d'une émotion très forte, peu importe le type. Alors lorsque tu as l'intention de l'utiliser, tu puise au plus profond de toi, tu cherche dans tes souvenirs pour avoir un déclique. Ta déchirure est apparue lorsque tu avais 15 ans. Tu avais piqué une grosse colère contre tes parents, pour une raison qui t'échappe là tout de suite. Mais tu t'en fou en fait. Tu te souviens que la table avais fondue sous tes mains...
A-t-il été amélioré ? Oh non surtout pas ! Tu es totalement contre les améliorations. Tu es contre tout ce qui es technologique en fait. Les gens de ton espèce sont chassés, alors tu ne vois pas pourquoi on ne devrait pas chasser les chasseurs justement. Et ce, sans aucune forme de pitié...
Est-il familier avec la Matrice ? La Matrice ça te passe un peu par dessus la tête. Quand t'étais gamine et ados tu t'y intéressais, parce que c'était cool et à la mode. Mais depuis que tu as eu ta déchirure, tu ne t'y es plus trop connectée. Et ça ne te manque pas plus que ça.
Suivrait-il des rumeurs ? Les rumeurs sont des choses exaltantes. C'est un jeu. Alors ouais, carrément même, tu viendrais même continuer une rumeurs pour bien foutre la merde encore plus. Bon après, si tu juge que ça devient trop chiant, ou que la rumeur est trop chiante de base, tu n'iras pas regarder. Ou juste par curiosité. Mais pas plus.
Quel est le rapport de votre personnage à la résistance ? Tu ne t'intéresse à la résistance que de loin. Ce n'est pas quelque chose qui te fait vibrer pour le moment. Et puis tu penses que si tu venais à rejoindre la résistance cela reviendrait à trahir ton clan. Alors à quoi bon ? Peut être plus tard, si les Halloweeners rejoignent la résistance...

IMPORTANT< /i> a ne remplir que si vous inventez une déchirure ! Si vous prenez une déchirure déjà proposé, pas besoin de répéter ce qui est déjà décrit.
Nom de la déchirure: Poison Touch
Description : Une glande s'est développée au niveau de tes avant-bras. Sous le coup d'émotion forte (jusqu'à ce que tu arrives à complètement la contrôler), cette glande libère de l'acide, qui parcoure les vaisseaux sanguins menant à tes mains avant de se libérer par les pores de ta peau. La concentration d'acide est plus forte au niveau de tes paumes.
Inhumain : Niveau 6
Tare: A cause de la glande située sur les deux avant-bras, tu as une petite masse indolore. Par contre, lorsque tu utilise la déchirure, c'est une autre histoire. Tu sens l'acide couler dans tes veines (qui se sont adaptées avant même l'apparition de la déchirure pour éviter que tu te retrouves avec des trous dans les mains). Tu souffres, mais la personne ou les matières que tu touches souffrent plus que toi, c'est une chouette compensation pour toi. De plus, tes mains sont loin d'être jolies. Brûlées par l'acide, elles paraissent fripées et déshydratées. Alors tu essaies d'en prendre soin, mais c'est chaud. Et lorsque tu utilise la déchirure, en plus de la douleur, tu perds la première couche de ta peau.
Durée : Instantanée et Permanente à la fois. Ta tare est visible et aggravée lors de l'utilisation de la déchirure.
Portée et volume : Aucune portée. Tu dois toucher les choses pour pouvoir diffuser l'acide.

2026 L'année de ta naissance. Ouais, au début d'une guerre civile en Irlande, peut être un signe ? 2033 Tu vis à Edimbourg avec tes parents, t'as 7 ans, tu comprends pas trop ce qu'il se passe dehors mais tes parents sont inquiets.  2039 T'as 13 ans. T'as entendu parlé d'une éruption solaire, et de plein d'autre truc qui te font réfléchir sur toi. T'es chiante, t'en fais bavé à tes parents. Bref, tu fais des recherches sur rien en fait, tu lit des bouquins, tu te renseigne ailleurs. Et tu trouve les celtiques. T'aime bien le principe, alors tu te renseigne mieux. Jusqu'à pratiqué la religion, enfin pour le moment tu les pries juste, pas plus, peut être plus tard.  2041 T'as 15 ans. Tu viens de te taper une grosse engueulade avec tes parents. T'es folle de rage, ils ne t'ont encore jamais vu comme ça. Vous être en train de manger. Tu te contiens, mais c'est dur. Alors tu tapes du poing sur la table et tu le lève. Puis tu leur hurle tout ce que tu peux. Et tu manque de te casser la gueule parce que t'étais appuyée sur tes mains, mais y a plus rien sous tes mains. La table a fondu. Tes parents tes regardent, ils ont peut, t'as l'air d'une étrangère à leur yeux. T'as peur toi aussi... 2042 Ca fait un an qu'on t'enferme pour te cacher. C'est chiant. Tu pète un plomb. T'en as rien à carrer de ce que peuvent penser les autres ! Tu aimes ce que tu es. 2043 Tu te détache de plus en plus de te parents. T'espère que ça les arrange, vu que t'es un foutu monstre d'après eux. Tu passe plus de temps dehors, t'entend parler des zombies, c'est chaud mais ok. Pas le choix t'façon. Tu cherches à t'occuper, comme tu peux, mais c'est la désolation. 2044 En fin d'année tu rencontre les frères Ruthven. Ils te proposent de rejoindre leur bande, tu sais plus comment t'étais tombée sur eux, mais bon, concours de circonstances. Bref, on te fait passer l'initiation, t'en es venues à détruire la gorge du gars qui t'avais arraché la puce tellement t'avais souffert. 2045 La vie suis son cours, enfin, la survie. Tu t'es prise au jeu de Halloweeners. T'as complètement débranché de ta « belle vie de famille ».  

 Tu portes le surnom de Anémone. Ce n'est pas quelque chose qui fait peur, qui rappelle Halloween ou autre, mais tu le trouve poétique et plein de sens. Car, en dehors d'être une plante marine possédant un poison urticant, il existe également un acide dit anémonique. Tu ne connais pas bien les propriétés de l'acide, mais c'est seulement un acide, alors le nom te va.

En ce moment tu te trouves dans ton petit jardin secret. Une petite merveille qui n'a pas encore été détruite, et que certains Halloweeners tentent de protéger. Car de ce petit jardin, ce petite endroit où peut de lumière perce, vous aviez réussi à en faire une petite serre. Juste assez grande et lumineuse pour faire pousser des plants d'Opium. En réalité, votre petit jardin est situé dans un bâtiment abandonné, possédant quelques trous dans le plafond laissant passer de la lumière. C'est toi qui es en charge de les faire pousser, pour après les revendre, et si jamais tu ne touches pas ton du, ça se passe souvent mal. Tu t’assoies par terre, en regardant tes plants d'un air songeur. Tu t'étais découverte une lubie pour les plante. Tu aimais te dire que tu étais une Poison Ivy du ghetto. Une fille dangereuse avec quand même cette touche de douceur, parce que tu fais office de fleuriste. Tu ris doucement à cette pensée, et quelle fleuriste. Car c'est sans aucun doute le seul endroit où tu ne risque pas de tout détruire, et tu sais que tu dois doubler la production pendant la période chaude, car pendant l'autre il t'est relativement difficile d'en faire pousser.

Quoi qu'il en soit, on te laisse tranquille quand tu es dans cette petite cache. Tu te souviens d'un échange qui avait mal tourné. Le gars voulait ton Opium mais sans te refiler son ticket. Alors bien entendu, tu ne t'étais pas laissée avoir, faut pas déconner avec toi. Tu lui avais collé une droite pour qu'il comprenne que ça n'allait pas se passer comme il le voulait, alors il te l'avait rendue, te traitant de tous les noms. Tu n'aimais pas qu'on te frappe, "Ca s'fait pas de taper les filles !". Mais le gars en avait pas fini avec toi, il s'était acharné sur toi, parce qu'il voulait son putain d'Opium sans rien te refiler. Et un moment tu t'étais retrouvée contre lui, il t'avait empoigné les cheveux pour que tu le regardes dans les yeux, et déblatérant des trucs que tu n'avais même pas écouté. Tu étais devenue en colère à ce moment là, et tu avais ri, tu lui avais ri au nez tellement tu étais fière de ce qui allait se passer dans les secondes qui viendraient. Tu avais mal aux avant-bras, tellement que ton rire se faisait plus vivant. Le gars comprenait pas, il t'insultait encore plus. Tu sentis alors ton liquide brûlant se transporter jusque dans tes mains, et là, tu lui attrapas ses parties génitales, les serrant tellement fort et étant tellement en colère que le gars sembla électrisé, dans l'incapacité à se détacher de toi. Il s'était retrouvé à genoux, transit par la douleur, et tu étais venue lui susurrer à l'oreille qu'il fallait qu'il se méfie des jolies gamines. Alors tu lui avais pris ses tickets, et tu t'étais barrée, gardant ton Opium avec toi. Tu avais toujours aimé pouvoir faire pencher la balance de ton côté lorsque le destin n'était pas en ta faveur. A croire que les dieux gardaient un oeil attentif sur toi.

C'était sans aucun doute cette violence impulsive qui t'avais permise de te faire accepter plutôt facilement chez les Halloweeners. Une main se pose sur ton épaule, tu lève la tête et vois un masque de citrouille. Tu souris, il te tend ton loup vert et orangé, celui auquel tu avais rajouter une étrange mèche rose-orangée qui s'emmêlait dans tes cheveux lorsque tu le mettais. Il t'aide à te relever et te fait signe de le suivre.