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 j'ai fait des pierogis.

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NOUVEAU MODÈLE.
Artyom Zhaparov
Artyom Zhaparov
maître cuistot

SIGNALEMENT : le seul de tes potes qui sait vraiment cuisiner, soyons honnête.
allez, reprend du borsch

DATE DE PÉREMPTION : 14/12/2018
MENSONGES PROFÉRÉS : 9
TRESORS VOLES : 2057
CRÉDITS : pagure.

✥ ELECTRIC DREAM.
CODE BARRE.
LEGENDES VEHICULEES: il sait bien cuisiner, l'autre con, et toujours arrangeant et prêt à se plier en quatre pour dégoter un truc dont on pourrait avoir besoin en bas. par contre des fois on n'arrive pas à fermer sa gueule pendant des jours, et d'autres, on arrive à peine à lui arracher un mot.
INVENTAIRE: .
DISPONIBILITE RP: libre comme spirit l'étalon des plaines.
j'ai fait des pierogis.  _
MessageSujet: j'ai fait des pierogis.    j'ai fait des pierogis.  EmptyVen 14 Déc - 16:29


IDENTITY
‹ rapides infos ›
ORIGINE CONTROLÉE ☞ né en 2019 à Moscou, trop jeune pour se souvenir des pluies acides mais assez pour se rappeler des heures passées dans les sanitaires public pour espérer avoir de l'eau potable, la langue sèche, pendant des heures. ETIQUETAGE ☞  humain. CODE BARRE ☞ puce modifiée, OM0545651D15-GK. CLASSIFICATION ☞ citoyen lambda. activité fréquente dans les souterrains  jugée bénigne pour l'instant. ACTIVITE PRINCIPALE ☞ Propriétaire d'un boui-boui dans les souterrains qui offre de la nourriture à des prix risibles et offre aussi de se procurer des objets trouvables uniquement à la surface. APPARTENANCE ☞ n'appartient à aucun clan mais donne à la Bratva pour sa protection et pour avoir le droit de traîner dans les souterrains. RÉPUTATION ☞ on peut vraiment lui demander n'importe quoi, à ce gosse. c'était un peu bizarre, de le voir débarquer du jour au lendemain dans les souterrains, d'abord seulement pour vendre des choses puis carrément pour s'installer. il fait bien la bouffe pour vraiment pas cher et ses services annexes sont bien utiles... mais parfois il refuse pour des raisons pas très claires. et il marche bizarrement, non ?
Artyom Zhaparov
Feat. Adil Zhalelov.


DETAILS ESTHETIQUES
‹ plus de détails ›
Place au sein de la société ☞ Il est un peu marginal, Tyoma, dans le fond. Il aurait du aller travailler dans une usine, comme son père, et son père avant lui, débarqué fraîchement du fond des steppes et planté devant une machine grâce à l'enseignement pour tous des soviets. Sauf que le premier jour, un moment d'inattention et la courroie fragile lâche juste à côté de son genou. Quelques économies et quelques mois plus tard, il se retrouve de nouveau à chercher ce qu'il peut bien faire de ses journées, alors il se tourne vers ceux qui ont une situation pire que lui. Et dieu sait qu'il y en a, des pauvres gars "pire que lui", au fin fond des souterrains de la ville. Il imagine qu'il doit même y en avoir un tas dans toutes ces villes enfermées dont on n'a plus aucune nouvelle. Et ça, il n'arrive pas à le comprendre, pourquoi cette foutue entreprise aux moyens inimaginables choisit de les écraser plutôt que de les aider ? Il voudrait s'en débarrasser une bonne fois pour toute et libérer tout ses compagnons d'infortune.

Equipement ☞ De l'eau bouillante à portée de mains, des couteaux, quelques spatules, un écumoire... rien de bien violent, surtout qu'à part manier les armes blanches sur une planche à découper, il sait pas en faire grand chose. après, tout le monde sait que planter quelqu'un est pas bien plus dur que de découper des champignons pour faire croire que c'est de la viande.

SECRETS DE FABRICATION,
‹ the rules ›
Caractéristiques ☞ Qu'est ce qu'il pense, dans le fond, ce jeunot ? Si on l'écoute un peu parler, on finit forcément par le trouver un peu fou. C'est peut être car il parle toujours avec conviction, comme si c'était la chose la plus importante qui soit, quelque soit le sujet. Les problèmes d'approvisionnement, le gout du thé qui se dégrade, l'accident qu'il a vu en se levant ce matin... tout est sujet de discussion, en fait, avec lui, et tout pour essayer de convaincre qu'il y a forcément une meilleure manière de vivre que ce qu'on leur offre là. A travers les murs, lorsqu'il vient voir sa famille, on finit par en user ses pantoufles pour leur demander d'arrêter de s'engueuler en tapant sur les murs. Pas que ça se passe mal, non, mais ils ont besoin de mettre les choses au clair de manière un peu vocale, parfois. Ils ne sont pas d'accords sur tout mais ça s'arrange toujours, en gueulant un peu et en exposant son point de vue. C'est sûrement pour ça que parfois, on n'arrive pas à l'arrêter, le moulin à paroles.

C'est un gars fidèle, vraiment. Autant à sa famille que ses amis. N'importe qui à qui il s'attache, en fait. Et il s'attache vite. Humain, on pourrait dire. Il voit toujours le mieux dans le gens le mieux qu'ils pourraient offrir, et ça l'énerve un peu, quand ils sont en dessous de ce qu'ils pourraient être. Mais il ne le fait jamais par méchanceté, même si parfois il manque de tact et ses mots sont durs. On lui a toujours appris que les hommes se tenaient, la tête haute et sur leurs deux jambes, et il est persuadé que c'est ça qu'il faut, que les hommes retrouvent ça et arrêtent de se faire écraser comme aujourd'hui. Alors s'il faut filer un coup de main pour y arriver, un petit conseil ou plus, évidemment, il est là.

Il ne sait pas toujours bien s'y prendre, son ton trahit parfois des intentions qu'il n'a pas et on le croit agressif, mais il essaye de s'excuser et tente de reprendre. Son insistance pèse un peu forcément, il a du mal à être subtil et délicat, avec les gens, car on lui a planté bien droit des convictions dans la tête, mais pas toujours la façon de s'y prendre avec amour. Il l'a, cet amour des gens, mais il ne sait pas l'exprimer. Bourru, c'est le mot.

Et parfois, il ne se rend pas vraiment compte, non plus. Il estime que tout ce qu'il a pu faire, n'importe qui pourrait le faire facilement. Il a du mal à comprendre les gens qui vont vraiment mal car sa seule solution a toujours été de se mettre un coup de pied et de se jeter, tout de suite, allez, là, pour s'en sortir. Dire à quelqu'un qui déprime de se forcer à se lever et de se bouger s'il veut oublier sa dépression... On a vu mieux. Il ne pense pas à mal et bien sûr qu'il a de la compassion, mais il est un peu limité.

Il est débrouillard, sait bricoler de-ci de-là et a toujours trouvé un moyen, alors c'est dur pour lui d'imaginer que d'autres s'en sortent moins bien. Trop exigeant, d'une certaine manière. Mais quand il finit par se rendre compte que ça ne va pas, il essaye de se rattraper, toujours un peu maladroitement mais du mieux qu'il peut.

Ambitions ☞ Il est pas très causeur quand il s'agit de ses ambitions profondes, le jeune, mais ce qu'il voudrait par dessous tout, c'est de trouver un moyen de renverser ce gouvernement pour que, selon lui, le peuple reprenne à nouveau le pouvoir comme il a pu le faire auparavant. Il en a marre, qu'avec leurs code barres on en soit presque à leur imposer une heure de coucher, et pense que les hommes valent mieux que ça. Mieux que ces domes puants qui enferment tout le monde, alors que l'humanité entière pourrait collaborer ensemble pour résoudre le problème de la flore irradiée et des paysages pollués ! ... plutôt idéaliste, le gamin, et il y croit dur comme fer.

© pagure

SYNOPSIS.
5h30, le réveil sonne. Une vieillerie sans nom et insupportable, mais qui a toujours fidèlement fait le travail en dépit de son âge. Artyom se dépêche de l'éteindre pour ne pas se faire insulter par les voisins en descendant. Il était déjà réveillé depuis un moment mais restait immobile dans son lit, attendant sagement, écoutant la respiration à côté de lui. Il n'arrivait pas à se rendormir à cause de la lumière, presque aveuglante même en pleine nuit par rapport aux nuits qu'il passe dans les souterrains. Malgré le dôme, tout semble plus brillant, au dessus.

Le plus dur, le matin, c'est cette foutue jambe. Les yeux le piquent, il a mal à la mâchoire car il a sûrement dormi la bouche ouverte à en croire la bave séchée au coin de ses lèvres, ses bras sont encore engourdis de la veille mais le pire, c'est bien la peau qui lui reste sur cette jambe droite, qui l'irrite sans fin quand il doit se préparer. On a dit qu'il avait de la chance, qu'il aurait pu très bien avoir une jambe de bois ou un vieux bout de métal sans articulation du genou, mais... Ah, il a du jurer un peu trop fort, la main de son aîné se pose sur son épaule accompagnée de grommellements, allez savoir s'ils sont rassurants ou insultants. Il préfère la première option.

Une fois sur ses pieds, il donne un coup de coude à la forme encore endormie de son frère et part préparer à manger et dire aux filles de se rendormir. A table, entre son frère et sa femme, ils démarrent les hostilités. Entre les gorgées de café, il prend des nouvelles, demande un peu comment ça se passe, au travail, pour les deux. Forcément, ils finissent par discuter plus largement, alors ça tape un peu du poing, ça hausse la voix, ça gueule, comme tous les matins passés avec des membres de la famille. Comment peut-il simplement envisager de rapporter ce problème avec son collègue à son chef ? Et alors, connard ou pas, on règle les différents entre nous, voyons, s'il y a bien un truc qu'ils ont appris de leur père, c'est bien ça. Les emmerdes, ça se règle entre nous, c'est pas pour les gens au dessus, ils ont pas à voir nos faiblesses, on n'a pas à les faire entrer dans notre vie... ça n'a pas de fin, tout ça, et tout y passe.

C'est leur fonctionnement normal, et ils trouvent ça sain, de se dire ouvertement ce qu'ils pensent, sans mettre de pommade. Bien mieux que de ses mentir des années. On se tape verbalement dessus, et on finit bien par se mettre d'accord quand on pose vraiment les désaccords. Les voisins trouvent ça un peu moins sain et les filles se réveillent à nouveau, attirées par le bruit. Les adultes sont trop concentrés et pris dans leurs discussions sur ce qu'est vraiment la solidarité derrière une machine pour leur dire de se recoucher alors elles écoutent aux portes et les vieux baissent un peu le ton, attendris, même si personne ne reculera sur ses positions. Ils sont tous du même bois, dans cette famille, des sales bestioles qui s'écharpent sur tous les sujets et se serrent vivement la main avec amour la minute d'après lorsqu'ils doivent se quitter. Au fond d'eux, ils savent très bien qu'ils feraient tout pour s'aider au moindre problème, mais pour s'assurer de ça, ils ont besoin d'être sûrs qu'ils ont bien les mêmes convictions.

Une fois dans la rue, il galope partout. Enfin, il boîte et claudique, s'arrête souvent pour saluer des connaissances, des gens à qui il file des petits coups de main de temps en temps ou inversement et essaye surtout de ne pas glisser sur le verglas assassin à cette période de l'année. De temps en temps il s'enfonce dans une ruelle, espère n'être pas trop visible des caméras, se cache un peu plus entre ses épaules et son épais manteau et bricole un peu. Pique un bout de gouttière pour refourguer le métal, récupère des conserves de ci de là plus ou moins légalement, il fait quelques commissions, puis part s'enfoncer sous terre.

Son sac est toujours lourd, trop lourd, de quoi perdre l'équilibre s'il relâche son attention quand il s'aventure enfin dans les souterrains. Il continue sa tournée, serre les mains d'amis, échange quelques sourires et part vers sa minuscule échoppe, écrasée entre d'autres, dans le bidonville. Il allume une à une les lumières, étale son butin de la matinée et le range vite sous son plan de travail. Un vieux finit par venir s'installer, sait bien que le ragoût n'est pas encore prêt mais il vient récupérer quelques choses sous le manteau et discuter avec le jeunot. Le vieux cynique mâche son tabac, crache par terre et lâche ton son cynisme, comme chaque matinée, et Artyom finit toujours pas l'engueuler, lui dire de se ressaisir un peu et d'avoir la dignité d'hommes qui lèvent la tête. ... Que ce soit avec ses proches ou ses clients, on l'entend souvent s'engueuler, mais il n'est jamais dur. Il le fait car il tient aux gens, il veut le meilleur pour eux et il sait très bien que venir se plaindre sur un de ses tabourets en se laissant crever, ce n'est pas le mieux que ce vieux a à faire. Alors il lui dit, presque avec ces mots là.

Il a l'habitude, maintenant, de cette routine, même si ça ne fait que quelques années. Au début, on le regardait un peu bizarrement, comme une bête curieuse, mais maintenant on se rapproche quand l'odeur du goulasch indique que c'est presque prêt. Il sert des bols, donne parfois quelques paquets en plus, puis une fois le fond de la soupière raclée jusqu'à la dernière goutte pour se garder un maigre bol, il vient s'installer et parler au milieu des clients. Il faut jouer un peu des coudes, garder un oeil sur l'écuelle pour chasser les cuillères baladeuses, mais il vient écouter. Il lâche quelques conseils, parfois, ou donne simplement son avis. Il a cette drôle de façon de parler où il cherche surtout l'avis de son interlocuteur, il veut comprendre comment l'autre en face de lui raisonne, réfléchit, voit le monde.

Petit à petit, ça se vide. D'autres passent, plus espacés, alors il retourne derrière, prend un livre et essaye de continuer de le lire. Il a du mal, parfois il doit suivre la ligne qu'il lit avec son index, mais il s'accroche, car ça l'intéresse. Il attend que ce soit la nuit, mot après mot, puis corne le haut de la page, referme le livre et chasse les quelques âmes qui restent encore, leur propose des gens qui auront une place pour eux dans le bidonville si serré, éteint les lumières sauf une dernière, puis attend, que des amis viennent. Ils se cachent, font attention de ne pas arriver en même temps, toquent discrètement, lui serrent la main avec affection et s'installent tous au fond, pour discuter. Ils discutent pendant longtemps. De Pinxit. Des failles possibles. Lui, il leur raconte ce que ses frères lui disent, en travaillant là bas, l'ambiance, ceux dont on doit se méfier, ceux qui semblent sûrs. Ils sont tous un peu trop tendus, tendent l'oreille en permanence et sursautent au moindre bruit inattendu. Une fois qu'ils ont réglé les points  qui leur semble importants, ils se détendent un peu, se permettent même de sourire. Ils demandent des nouvelles du bouquin, alors forcément, il grimace un peu, avoue qu'il n'a pas beaucoup avancé, mais leur raconte où ils en est. Certains sourient, d'autres le réprimande un peu, pas bien méchamment, et ils partent, chacun leur tour dans une direction différente, sans un bruit.

Il éteint la dernière lampe, s'installe sur le lit de camp plus ou moins dissimulé derrière un rideau près des fourneaux, endormis, froids. Le métal gèle, lui brûle presque la peau alors il l'enlève en vitesse, grelotte un peu et ferme les yeux en attendant que le réveille sonne à nouveau.


pagure
coucou c moi pagure. c'est le nom des bernards l'hermite. j'aime bien les crustacés et tout. j'ai découvert ce forum en bougeant de partenaires en partenaires et voila, ça me change des mêmes forums qu'on voit partout, jsuis pas SF ni médieval ni jsais pas quoi mais me voila car vous vous êtes différents et je vous aime bisous.
icon ; dandelion.
j'ai fait des pierogis.  1544799760-icon2


Dernière édition par Artyom Zhaparov le Sam 15 Déc - 14:05, édité 6 fois
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PINXIT INDUSTRY.
Barbie peut aller se rhabiller.
Sofia Azarova
Sofia Azarova
RÉVÉLATIONS,

SIGNALEMENT : Une mite en pullover d'acier
INTERZONE

DATE DE PÉREMPTION : 19/02/2018
MENSONGES PROFÉRÉS : 593
TRESORS VOLES : 6371
CRÉDITS : Eden Memories

✥ ELECTRIC DREAM.
CODE BARRE.
LEGENDES VEHICULEES: Elle met mal à l'aise, la poupée, elle effraie. Trop mignonne pour être violente, jusqu'à ce que la violence lui dégueule par tous les pores de sa peau synthétique. Aucune âme dans cette coquille, sourires honnêtement faux, intérêt jamais gratuit, curiosité mal placée. Envahissante, méprisée pour la carcasse qu'elle est.
INVENTAIRE: Son corps est une arme, chacune de ses améliorations, qu'on lui donne et lui retire au gré des missions.
DISPONIBILITE RP: Libre !
j'ai fait des pierogis.  _
MessageSujet: Re: j'ai fait des pierogis.    j'ai fait des pierogis.  EmptyVen 14 Déc - 20:38

Mwoh qu'il a l'air sympa celui-là ! j'ai fait des pierogis.  468577721 Et un pro de la débrouille, il va en avoir besoin ! Bienvenue parmi nous !
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ADMIN.
il aime les grandes épées
Blayne Volkov
Blayne Volkov
RÉVÉLATIONS,

SIGNALEMENT : L'Homme est un loup pour l'Homme. Et c'est exactement ce que je suis
INTERZONE

DATE DE PÉREMPTION : 26/02/2018
MENSONGES PROFÉRÉS : 250
TRESORS VOLES : 3968
CRÉDITS : LadyRavenya

✥ ELECTRIC DREAM.
CODE BARRE.
LEGENDES VEHICULEES: Ce qui se dit au sujet de votre personnage, ce qu'on dit de lui dans son dos, sa réputation en somme.
INVENTAIRE: Ses épées, Wolfclaw et Rimefang.
DISPONIBILITE RP: LIBRE
j'ai fait des pierogis.  _
MessageSujet: Re: j'ai fait des pierogis.    j'ai fait des pierogis.  EmptyDim 16 Déc - 16:43

VALIDATION.
Déjà bienvenue à toi =D Ensuite, j'ai beaucoup aimé ta fiche et en particulier le fait d'avoir raconter son histoire sur une journée. intéressant comme idée =)
Félicitations, tu es validé !
Avant toute chose, va vérifier que ton avatar est bien indiqué comme pris dans le bottin. Ensuite, il te faudra aller zieuter du côté des demandes de liens afin de tisser des relations & de rps, l'antre des joueurs afin de trouver des rps. N'hésite pas à faire un tour dans l'équipement qui réunit toutes les demandes vis à vis du personnage ainsi que le système de points.
Enfin, si ton p'tit frère ou ton papa te manque, tu pourras toujours créer un scénario.



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FONDATRICE.
elle porte des slips roses
Kira Kitsyne
Kira Kitsyne
FUCKING MASTER,
big bad boss.
j'ai fait des pierogis.  AdorableDecentAmericanquarterhorse-max-1mb
SIGNALEMENT : Scientifique folle, créatrice de machines possédant une âme.
U.C.

INTERZONE

DATE DE PÉREMPTION : 07/11/2012
MENSONGES PROFÉRÉS : 2704
TRESORS VOLES : 14107
CRÉDITS : Eden Memories

✥ ELECTRIC DREAM.
CODE BARRE.
LEGENDES VEHICULEES: Perfide docteur Frankenstein, visage trouble de la folie, ange destructeur.
INVENTAIRE: Les armes, véhicules, et objets dont dispose votre personnage sous forme de liste. Tout peut s'acheter pour qui s'en donne les moyens. (voir l'armurerie pour dépenser vos points et acquérir des objets).
DISPONIBILITE RP: Libre, complet ou indisponible, vous pouvez aussi indiquer un ralentissement ou une absence ici !
j'ai fait des pierogis.  _
MessageSujet: Re: j'ai fait des pierogis.    j'ai fait des pierogis.  EmptyDim 16 Déc - 17:57

Oh je sens que Ephrem va faire parti de sa clientèle régulière :007:
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MessageSujet: Re: j'ai fait des pierogis.    j'ai fait des pierogis.  Empty

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