Amur | La promesse de l'ombre

✥ ELECTRIC DREAM.

IDENTITY
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ORIGINE CONTROLÉE ☞ indication sur d'où vient le personnage. ETIQUETAGE ☞ race, groupe auquel vous appartenez. CODE BARRE ☞ numéro indiqué sur la puce de votre personnage, s'il en a encore une. CLASSIFICATION ☞ citoyen, individu à surveiller, propriété de Pinxit ou encore Blade Runner, suspect activement recherché ? ACTIVITE PRINCIPALE ☞ Votre métier ou occupation principale, comment vous obtenez de quoi vivre. APPARTENANCE ☞ clan auquel vous appartenez. RÉPUTATION ☞ l'image qu'il renvoie, les ragots à son sujet.

Prénom Nom

Feat. Personnalité Utilisée.

DETAILS ESTHETIQUES
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Place au sein de la société ☞ Décrivez-nous la place de votre personnage au sein de la société et comment vous vous définissez dans la société actuelle.

Déchirure ☞ A enlever si vous n'êtes pas un mutant Donnez nous le nom de votre déchirure et expliquez nous comme elle s'exprime chez vous.

Equipement ☞ Dites nous si vous avez une amélioration, ou des accessoires fétiches, une arme peut-être ?

SECRETS DE FABRICATION,
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Caractéristiques ☞ Donnez nous un portrait rapide de la personnalité de votre personnage, quelques traits, n'oubliez ni les défauts ni les qualités.

Ambitions ☞ Ce qu'il compte faire, ses plans et objectifs. Donnez nous quelques détails croustillants sur la suite.

© crédit avatar

SYNOPSIS.

OPTION CHRONO
D'une famille de misère, Amur très jeune n’eut pas d'autre choix que de s'engager dans les forces privées d'une Méga-corporation aux objectifs douteux. De là il bourlingua les terres d'une Russie en totale décomposition, participant aux conflits les plus sales de son époque. Tchetchnie, Ukraine, Sibérie... On se battait pour des gisements de gaz, pour le contrôle des restes d'empires financiers en déliquescence, sur des terres irradiés, dans la neige, sous les vents de poussières toxique, sans but réel autre que celui d'enrichir une poignée d'oligarque Moscovites aux mains manucurées. Ouais, il en a vu des saloperies, des carnages gratuits, des copains se faire blaaster en sortie de tranchée, de ces bombardements qui ravageaient des régions complètes. Il a couru ventre à terre dans des Villes soviétiques dévastées par les bombes sales, alors qu'au dessus de lui claquaient et vrombissaient les balles éclairantes de snipers. Il a participé à ces opérations de « maintien de l'ordre » ; où loin des caméras des grands médias Russes, les corporations envoyaient leurs commandos nettoyer, épurer l'arrière pays.

Jusqu'au jour où comme beaucoup il craqua. Ni les drogues de combat, ni les musiques hallucinogènes que les hauts parleurs des hélicoptères crachaient au moment de balancer des nuages de rockets, encore moins ces améliorations militaires qui renforçaient son physique, n'avaient réussi à éteindre en lui une petite étincelle d'humanité. La dernière. Comme un lointain souvenir, à la fragilité de fleur poussée entre les pavés d'une Ville bombardée. Alors lorsque son officier lui ordonna d'exécuter un prisonnier. Il se rebella. Cent fois par le passé il avait pressé la détente de son flingue et fait sauter la cervelle d'innocents. Mais cette fois ci, ce fut la tête de son officier qui éclata dans une gerbe grise.

La sanction ne se fit pas attendre. Et ce furent les terribles camps de redressements dans le grand Est. Au milieu des toundras dévastées, dans des zones irradiées. La faim, les maladies, la violence gratuite entre prisonniers. Cette société n'était pas tendre avec les fortes têtes. Il fut battu, torturé. Mais jamais il renonça. Jamais il ne s'amenda. Au matin les robots de garde le laissaient pour mort. Et au soir, lorsque l'interrogateur lui demandait s'il regrettait, acceptait le lavage de cerveau et la libération, il lui crachait au visage. Bon pour recommencer une nuit de calvaire. Une journée de corvée. Des coups. Des humiliations. On lui brisa les jambes. Les doigts. Mais même s'il eu à ramper, jamais, Oh grand jamais, ses yeux ne se baissèrent.

Et lorsque ses yeux croisèrent ceux d'un vieil Urkas, là encore ni sa nuque, ni ses paupières ne se tournèrent vers la boue dans laquelle il gisait. Sauf que l'ancien Vori v zakone, plutôt que de lui décocher un coup de botte, préféra lui tendre la main. Bienvenue dans la famille. Après tout, dans ce monde sans âme, gouverné par les intérêts les plus abjects et les plus charognards, les vrais rebelles, ceux qui jamais ne renonçaient, comme des chiens faméliques se disputant un os, étaient rares. Une précieuse ressource que les voleurs dans la loi savaient reconnaître et utiliser avec sagesse. Un autre monde s'ouvrait à Amur. Aux rituels complexes et nostalgiques, à l'honneur un brin mystique et à la violence primaire et presque belle. Dans le camps il servit ses nouveaux maîtres, qui en retour le tinrent éloigné des gardes et des tortionnaires en uniformes. Tuer. Terrifier les autres prisonniers, s'assurer que la véritable hiérarchie du camps – celle qui s'établissait à peine que l'autorité avait le dos tourné – soit respectée. Cela lui allait bien. Il s'illustra. Gagna respect, considération, et un semblant de famille.

Puis on le fit sortir du camps. Magouilles. Arrangements. Ces choses là dépassaient Amur. Il savait néanmoins que cette liberté n'était que façade. Illusion. Et que comme un soldat que l'on déploie de terrains d'opérations en bases avancées, les Vori v zakone ne l'avaient renvoyé en Ville que parce que sa violence y serait plus utile qu'au camps. Il leur appartient. Parce qu'en Russie une dette n'est jamais oubliée. Et que le prix de liberté n'est scellé que par la mort. C'est une loi bien particulière que Amur s'occupe désormais de faire respecter dans Moscou. Une loi qui ne dit pas son nom, se passe de livres et de contrats ; et où le sort d'un accusé est décidé d'un regard, d'un coup de poignard. Une violence à la brutalité subtile, un équilibre tout en fragile dangerosité. Tuer. Terrifier. Faire des compromis. Obéir surtout. A ce que l'on demande. A ses plongées dans l'underground Moscovite. Et gagner une journée de plus. Quelques heures de répit. Jusqu'au prochain racket, jusqu'au nouveau braquage. Vivre. Survivre plutôt.

PSEUDONYME

Présentation personnelle. Dites nous tout et n'importe quoi, comme vous le souhaitez, n'oubliez pas cependant d'indiquer comment vous avez connu le forum.

icon ; dandelion.

L'equipe te souhaite la.

Bienvenue

Au nom de toute l'équipe, je te souhaite la bienvenue parmi nous :011:

!
J'espère que tu vas bien t'amuser parmi nous. Si tu es un peu perdu, pas de panique ! Tu as à ta disposition un guide du nouveau joueur afin de t'aiguiller et te guider pas à pas sur le forum !
Si tu as des questions n'hésite pas ici ou dans la questions. Tu peux également mpotter les staffieux directement !
Tu as à ta disposition une l'atelier si tu souhaites construire ton personnage avec l'aide des membres et peut-être ainsi avoir des pré-liens !
Durant l'élaboration de ta fiche tu peux parfaitement poster sur la fiche des autres pour leur souhaiter la bienvenue, ou même pour flooder. Mais surtout, tu peux nous rejoindre sur la chatbox !
Bon courage pour la rédaction de ta fiche et surtout, ne t'inquiète pas si ça floode un peu sur ta fiche, c'est l'accueil de la maison !

Hâte d'en savoir plus à ton sujet Amur | La promesse de l'ombre 468577721

Bienvenue =D Bon courage pour ta fiche =)

Bienvenue, et bonne rédaction ! Amur | La promesse de l'ombre 1062587420

Bienvenue parmi nouuuuus ! Amur | La promesse de l'ombre 4279846741

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